expresso : le mentorat

JE L’IMAGINE ASSISE À SON BUREAU, EN MODE MULTITÂCHE, À ACQUIESCER À TOUTES LES DEMANDES D’AIDE, RACONTE ALEX LORSQU’ON LUI DEMANDE DE

le système lymphatique. Il est décédé en 2015, à l’âge de 28 ans. Son départ a plongé sa famille et ses proches, de même que sa famille EXP, dans un profond chagrin. Comme l’ont expliqué Dara Epstein, la sœur de Matt, et Leah Geanopulos, sa mère : « Matt adorait son travail et ses collègues. Il y puisait une force qui l’a aidé à mener son combat pendant deux ans. Je ne crois pas qu’il aurait tenu si longtemps sans ses collègues d’EXP. »

lui demande conseil, elle m’aide à voir clair dans les programmes complexes que nous utilisons. Si elle ne connaît pas immédiatement la réponse, alors elle me revient pas Alex comme une personne qu’elle mentore. Elle le décrit comme un collaborateur motivé, un collègue brillant avec qui elle échange des idées dans le but de soutenir et de propulser la réussite d’EXP. Aujourd’hui, Margaret et Alex continuent d’échanger des connaissances et des idées. Et quand des problèmes relatifs à Revit nécessitant l’intervention d’un as de la résolution surgissent, ils pensent à Matt, qui, par sa présence, son talent et ses compétences, les a transformés tant sur les plans personnel que professionnel, la preuve qu’un lien de mentorat solide, une fois bien établi, ne prend jamais fin. La présence de Matt, concepteur de la trame musicale des vies de ses collègues et complice de Margaret, d’Alex et de la communauté BIM, était tout aussi mémorable que son style de mentorat. Elle procurait un sentiment de bien-être, à l’instar d’une chanson préférée, fugace, mais capable de vous changer à jamais. plus tard avec une piste de solution. » Margaret ne voit

NOUS DÉCRIRE L’IMAGE QU’IL SE FAIT DE MARGARET. QUAND JE

LUI DEMANDE CONSEIL, ELLE M’AIDE À VOIR CLAIR DANS LES PROGRAMMES COMPLEXES QUE NOUS UTILISONS. SI ELLE NE CONNAÎT PAS IMMÉDIATEMENT LA RÉPONSE,

Margaret a rendu visite à Matt, à Maitland. « Il fallait que je le rencontre, dit-elle doucement. Après toutes ces années à collaborer, à partager des renseignements et à échanger nos connaissances, il était non seulement mon collègue et mon mentor, mais aussi mon grand ami. » À ce jour, Alex et Margaret n’ont pas encore eu l’occasion de se rencontrer. « Je l’imagine assise à son bureau, en mode multitâche, à acquiescer à toutes les demandes d’aide, raconte Alex lorsqu’on lui demande de nous décrire l’image qu’il se fait de Margaret. Quand je

ALORS ELLE ME REVIENT PLUS TARD AVEC UNE PISTE DE SOLUTION. »

Matt Epstein

Alex Gallegos

LE MENTORAT | 31